Le défi : Dans les moments les plus tendus, s’efforcer d’apporter du cadrage, du sens, de la sérénité. Alors précisément que, par construction, on a très peu d’éléments.
Même défi qu’à la télévision, mais avec un avantage : moins de risque que la réflexion soit constamment dynamitée par la surabondance d’images choc déversées en boucle alors que l’on tente de faire passer une réflexion au-delà de la seule émotion.
Le défi reste d’apporter de la réflexion en recul, au-delà du simple surf sur les événements et les clichés, même si le rythme est moins tyrannique qu’à la télévision et la radio.